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De nombreux genres de bouchons artificielles et modernes sont sur le marché, allant des bouchons en liège aux bouchons à vis, dont beaucoup sont créés pour améliorer l’entrée d’oxygène dans le vin, ainsi que pour minimiser ou retirer la présence de goût de liège. Malgré ces avancées modernes, de nombreux commerces vinicoles aiment mieux toujours utiliser du liège naturel pour leurs fermetures, car du positionnement du marketing, le liège est associé à la plus haute qualité selon le client moyen. bien que les variations techniques entre les fermetures de bouteilles de vin soient bien renommées, très peu d’études spécialistes ont analysé le type de serrure du point de vue du prospect, à savoir les associations de testeurs entre le type de fermeture et les spécificités de qualité du vin. Par exemple, il y a une année, une étude menée par Wine Opinions en étroite collaboration avec la Portuguese Cork Association et le Cork Quality Council a divulguer que les utilisateurs préféraient le bouchon en liège naturel au lieu de la tradition et le rituel du bouchon de liège et que 68% des personnes ont estimé que le vin fermé avec du liège naturel était de meilleure qualité
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Bien qu’il existe beaucoup de ces types d’études, il n’en existe pas autant dans la littérature universitaire. Une nouvelle étude, acceptée dans l’International Journal of Hospitality Management ( et actuellement prêt en ligne ), visait à compléter ce nombre plutôt limité d’études en examinant de quelle manière le type de serrure du vin affecte les perceptions de la qualité du vin par le consommateur moyen. Cette étude a eu lieu sur le campus de la Washington State University en 2013 et a recruté 310 personnes en tout ( bien que 299 seulement aient été utilisées pour l’analyse statistique ). Parmi les joueurs figuraient des étudiants, des parents, des membres du corps professoral et d’autres membres de la communauté. Les joueurs ont d’abord rempli un questionnaire rédigé dans lequel ils posaient des interrogations sur leur expérience en matière de vin, leurs routines de consommation et leurs préférences en terme de vin.
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Après l’enquête, les participants ont été convives à prendre part à une dégustation dans laquelle ils étaient informés qu’ils allaient apprécier des vins provenant de bouteilles présentant divers genres de bouchons. Pour la appréciation, les personnes étaient assis avec un tapis devant eux avec les étiquettes Vins A, Vins B, Vins C et Vins D. Sur chaque étiquette, il y avait une photo d’une bouteille de vin indéterminée avec un type de serrure différent au travers, renseignant que le vin qu’ils ont goûté provenait de la bouteille avec ce type de serrure. Alors que les participants pensaient qu’ils goûtaient quatre vins différents, en réalité, ils n’en goûtaient que deux. Deux mélanges de type bordelais provenant d’une sous-sols vinicole régionale ont été employés pour que les personnes puissent être d'avantage facilement convaincus qu’ils buvaient quatre types de vins différents ( au lieu de n’utiliser qu’un seul vin ).